Rouyn-Noranda : une population plus à risque de développer des problèmes majeurs de santé

Le glyphosate est l’ingrédient principal retrouvé dans le Roundup, cet herbicideSubstance active ou préparation phytosanitaire permettant de tuer les plantes considérées comme indésirables. reconnu mondialement. La Cour d’appel du 9e circuit des États-Unis n’est pas convaincue que ce pesticide est sans risque pour la santé et a récemment obligé l’Agence de protection de l’environnement de réétudier cette conclusion.

Une récente étude révèle la présence, dans certains cosmétiques, de produits chimiques qui n’apparaissent pas sur les étiquettes.

L’utilisation massive de munitions de plomb dans les champs de tir et les terrains de chasse augmente l’exposition des tireurs et/ou chasseurs à un métal neurotoxique ; le plomb.

Les traces de PFAS dans l’eau potable détectées par les chercheur.e.s ne sont pas étonnantes en soi puisque ces polluants sont persistants et omniprésents dans notre environnement. En revanche, ce sont les quantités de PFAS retrouvées dans les échantillons d’eau de Val-d’Or et de Saint-Donat qui sont préoccupantes.

Les États-Unis se sont donné l’objectif de remplacer toutes les canalisations en plomb du pays d’ici les 10 prochaines années.

Récemment, plus de 3000 capteurs ont enregistré des concentrations de CO2 dans les classes dépassant largement le seuil sécuritaire recommandé.

Le gouvernement du Canada a récemment produit un rapport soulignant l’importance de mieux réglementer la production et l’utilisation des composés perfluorés (PFAS), des substances chimiques persistantes. Les scientifiques soutiennent qu’en suivant le principe de précautionContrairement au principe de prévention, le principe de précaution s’applique lorsque nous ne connaissons pas, ou connaissons peu, les risques liés à une activité. Il s’agira donc d’appliquer des mesures ou d’entreprendre des actions afin de minimiser les risques de l’activité, même si ces risques sont incertains (Pour plus de renseignements)., les données existantes jusqu’à présent devraient être suffisantes pour réglementer globalement l’utilisation de toute substance de la grande famille des PFAS.

La pollution de l’air tue, chaque année, près de 500 000 nouveau-nés.

Derrière votre téléphone, ce petit appareil mobile fort efficace, se trouve une quantité importante de polluants, dont du plastique.

Une expérience menée par «Le Devoir» montre qu’il peut être difficile de respecter les lignes directrices canadiennes de dioxyde d’azote lors de l’utilisation d’une cuisinière à gaz.

La consommation d’eau ou d’aliments contaminés à l’arsenic peut engendrer des effets nocifs sur la santé. Les scientifiques ont notamment constaté que l’arsenic est neurotoxique, c’est-à-dire qu’il a des impacts nuisibles sur le cerveau en s’attaquant aux neuronesCellules qui forment la base du système nerveux. En communiquant entre eux via les neurotransmetteurs, les neurones transmettent de l'information et nous permettent de voir, sentir, toucher, goûter et penser. Les neurones sont donc à l’origine de l’ensemble de nos perceptions, cognitions et actions. et à leur système de communication. D’ailleurs, des maladies neurologiques comme l’AlzheimerMaladie neurodégénérative chronique où la dégénérescence des neurones entraine l'altération progressive de la mémoire et des fonctions cognitives. et le ParkinsonDésordre neurodégénératif progressif et chronique qui survient en moyenne entre l’âge de 55 et 65 ans. ainsi que des problèmes cognitifs ont été associés à l’arsenic.

Le tribunal a reconnu la maladie de ParkinsonDésordre neurodégénératif progressif et chronique qui survient en moyenne entre l’âge de 55 et 65 ans. d’un travailleur comme maladie professionnelle : une première au Québec.

Un scientifique d’un laboratoire de recherche de l’Université McGill se lance dans un travail laborieux : détecter des substances qui passent sous le radar des analyses de Santé Canada.

Plusieurs scientifiques du Centre intersectoriel d’analyse des perturbateurs endocriniens (CIAPE) ont récemment fait le point sur les effets nocifs des perturbateurs endocriniens sur la santé dans la revue scientifique « Environmental Research.»

Une nouvelle étude de l’École de santé publique de Montréal a associé l’augmentation du bruit ambiant à une hausse du risque de faire un accident vasculaire cérébral (AVC).